Les Types Architecturaux
Murs | Auteur : administrateur |
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Appareillage - Opus Reticulatum | Dans les parement des murs en oeuvre camentizia on peut remarquer une tendance progressive à la régularisation de la partie à la vue, à travers la réalisation de tufelli de la base carrée de plus en plus. Il s'agit d'un procès continu dans lequel on peut souligner la phase conclusive, l'opus reticulatum,in lequel les joints entre les tufelli tendent à se mettre en communication dans une ligne continue avec former, note, un réseau. Les plus anciens exemples de cette technique remontent à la fin du II siecle a.C . https://www.arkadias.fr/opuspomp.html#OSeXRVIo |
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Appareillage - Opus Incertum | avec l'introduction des malthe et de l'opus caementicium se rend nécessaire l'usage de parement, cohérents avec le noyau, composés d'éléments de dimensions plus réduites. Le plus ancien type de parement est l'opus incertum, constitué par tufelli de forme pyramidale, avec le sommet immergé dans le noyau de ciment du mur et la base de forme irrégulière laissées en vue. Les plus anciens exemples de cette technique à Rome remontent aux premières décennies de II° siècle à.C.: À ne pas confondre avec l'opus insertum ou isodomon, assemblage réglé. Était initialement disposé en manière la plus précise et cela pour donner une surface la plus plate possible. C’est bien pour ce motif qu’elle fut utilisée surtout pour paver le sol, en tout cas en assimilant des éclats de pierre et de galets mélangés avec Malte dans le ciment romain de la paroi. Par la suite la technique a été développée, tendant à niveler la surface du mur, afin de réduire la couche de mortier entre les blocs de pierre et de choisir les pierres les plus réguliers dans la forme et la taille, pour en faciliter la tache. Lorsque la forme des segments est ajustée afin d'être plus étroitement appariés, avec la nouvelle baisse des couches interposées de Malte, nous avons tendance à parler de "travailler presque réticulée" , opus quasi-reticulatum. https://www.arkadias.fr/opuspomp.html#OSeXRVIo |
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Appareillage - Opus Cemeticium | Les Romains commencèrent à utiliser l’ opus cemeticium, le béton romain composé de chaux, pouzzolane et ciment, déjà au III° siècle avant JC.; ce matériel révolutionna les méthodologies constructives de l'antiquité en tout ce qu'il permettait la réalisation de gros bâtiments et œuvres publiques dans un temps plus rapide, et en utilisant un matériel de disponibilité facile, transport et mise en œuvre, en comparaison à la classique oeuvre carrée. L'œuvre en ciment, était utilisé pour les fondations des bâtiments ou comme noyau du murage rhabillé sur les côtés en même temps construits par parement de maçonnerie au noyau même seconde une technique de réalisation aux couches suivantes: les maitres experts réalisaient les parement pour une certaine hauteur en utilisant des caisseforms (des caisses en bois..) et ouvriers moins experts pouvaient verser à l'intérieur les maltes très fluide successivement et par la suite y verser le ciment pour consolider les éclats de pierres qui elles venaient alitées parfois de manière chaotique ou de manière extrêmement régulière. Quand la couche était solidifiée suffisamment il procédait à réaliser le suivant; les rideaux pouvaient être en briques ou en bloc de tuf ou d'autres pierres ou aussi en travertin ou marbre; ces derniers pouvaient être ancré au noyau mieux en utilisant des grappe entre les plaques ou étriers de fer noyés dans le béton; les trous qui se voient dans les œuvres en ciment des monuments romains furent pratiqués pour défiler les étriers de soutien et piller les monuments de leur revêtement ou simplement pour obtenir le fer des ancrages, comme pour les trous dans les rochers de travertin du Colisée; dans les murailles en œuvre latericium se voient une série de trous disposée sur files réguliers, comme il arrive dans les murages typiquement médiévaux; il est sur que ces trous ils fussent réalisés pendant la construction du mur et utilisé pour y encastrer des poteaux sur lesquels étaient assurées les échafaudages pendant la construction, et successivement dans l'éventualité de travaux de restauration. Les parements, selon la typologie, étaient laissés en vue ou en crépi et embelli avec des fresques, mastics, décorations et autres rideaux de pierres nobles. https://www.arkadias.fr/opuspomp.html#OSeXRVIo |
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Appareillage - Opus Quadratum | structures en blocs réguliers de forme parallélépipède. En usage depuis la période archaïque, fins VII) débuts VI) siècle av.JC.), c'est la technique la plus adoptée à Rome dans les constructions les plus anciennes. Cette technique a été utilisée par les Romains à partir du 6ème siècle avant JC et au fil du temps, la précision et l'exactitude du bloc de coupe améliorée. La technique a continué d'être utilisée tout au long de l'âge de l’Empire romain, même après l'introduction de mortier, et a été souvent utilisé en complément d'autres techniques. Le type de pierre, la taille des blocs, et la manière dont les blocs ont été mis ensemble, sont d »es concepts qui permettent d’aider les archéologues sur les structures et les techniques de construction. https://www.arkadias.fr/opuspomp.html#OSeXRVIo |
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Appareillage - Opus Craticium | Jusqu’au III° siècle avant JC, les murs des habitations privées et publics étaient réalisés à sec, c’est à dire sans utilisation de maltes mais uniquement des bois, des argiles et résiduels de pierres.; l’argile constituait le seul lien entre tous ces éléments. L'Opus Craticium était un ouvrage à très faible coût, considéré comme la première méthode de construction des murs à Rome dans sa première époque de domination.. Nous retrouvons très souvent ce type de construction dans les colonies romaines de France et Espagne car de prix économique. https://www.arkadias.fr/opuspomp.html#OSeXRVIo |
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